« Mondialisation », les aléas de la conscience contemporaine (3)

5. Les années 1990 : la mondialisation réinventée

L’analyse du nombre d’occurrences révèle qu’un nouveau palier est atteint au début des années 1990. La mondialisation devient le paradigme de référence pour comprendre le nouvel ordre mondial issu de la fin de la guerre froide (Amin, 1992 ; Moreau Defarges, 1993). Ceci se lit dans la transformation du mot « mondialisation ». Il devient sujet à prédicat, signe d’une essentialisation de la mondialisation. Autrement dit, on ne parle plus de « la mondialisation de quelque chose », mais tout simplement de « la mondialisation » per se :

« Mais la mondialisation est un phénomène de long terme. Son intensité n’était guère différente il y a quelques années quand l’extrême droite était jugée marginale et la France perçue comme sûre d’elle-même. » [1]

Comment l’avait déjà montré René-Éric Dagorn, « mondialisation » accède alors au rang de notion (Dagorn, 1999) – ce qui ne s’est jamais produit pour le terme de « planétarisation ». Mais cette cristallisation du sens se double d’un discours sur le mot lui-même qui oblitère complètement l’usage antérieur de celui-ci. La mondialisation est perçue comme un phénomène avant tout économique. Ainsi, en 1996, dans un compte-rendu d’un ouvrage collectif coordonné par François Chesnais :

« À l’heure où le mot “mondialisation” est mis à toutes les sauces, il convient de rappeler que ce processus a commencé voilà quinze ans, avec la mondialisation des flux financiers. » [2]

La voix d’André Fontaine semble impuissante lorsqu’il rappelle qu’en 1949 on parlait déjà de mondialisation :

« L’OCDE a beau avoir donné sa caution à cet anglicisme, le mot “globalisation” est trop… global pour avoir la précision géographique de son équivalent français “mondialisation”, néologisme au demeurant moins récent que beaucoup ne le croient. » [3]

Or cette mondialisation économique, « la mondialisation », provoque une crispation de plus en plus forte, doublée d’une montée de l’euroscepticisme après la signature du traité de Maastricht en 1992. Comme l’écrit très justement Jacques Lévy, en s’inspirant de François Perroux à propos du capitalisme, « mondialisation », en accédant au rang de notion, est devenu un « mot de combat » (Lévy, 2008). Ainsi, en 1994, Jean-Pierre Chevènement s’en prend au Parti socialiste, jugé trop mou :

« L’heure de la clarification a sonné. Pour engager le nécessaire travail de recomposition politique qui permettra de faire bouger les lignes, il est d’abord nécessaire d’opérer trois ruptures : rupture avec les appareils traditionnels, qui ont conduit la gauche dans l’impasse ; rupture avec les pratiques et les mentalités anciennes qui, privilégiant la forme sur le fond, consistent à négocier des places, des alliances sans principes, des collusions de circonstance ; rupture enfin avec l’idée que la politique ne peut plus rien – ou plus grand-chose – pour améliorer le sort des femmes et des hommes, et que l’interdépendance et la mondialisation libérale nous condamnent soit à subir et à tout accepter, soit à nous replier sur l’action locale du quartier ou de la commune. » [4]

En 1995, Zaki Laïdi souligne « le malaise de la mondialisation » :

« Or ce qui caractérise la mondialisation, c’est précisément le fait que personne ne parvient à lui donner sens, à la lier à une représentation collective, à l’objectiver. La mondialisation apparaît comme une somme de contraintes ou d’opportunités, mais non comme un projet ou une espérance.

On constate presque partout que l’ouverture sur le monde ne favorise pas spontanément une conscience d’appartenance au monde.

On ne s’investit pas dans la mondialisation comme on s’investit dans une idéologie à prétention universaliste. On constate presque partout que l’ouverture sur le monde ne favorise pas spontanément une conscience d’appartenance au monde. On n’hésitera pas à dire que la mondialisation tend aujourd’hui à détruire l’idée d’universalité ou de responsabilité mondiale. » [5]

Quelques mois plus tard, le mouvement social de novembre-décembre 1995 apparaît comme « la première révolte contre la mondialisation » [6]. Cette critique s’accompagne d’un contre-discours qui se cristallise dans le terme d’« antimondialisation » :

« La décennie élyséenne du Général a coïncidé avec un formidable développement de l’économie, du confort, de l’éducation, et le plein emploi a été atteint, qu’on avait toujours cru incompatible avec le système capitaliste.

La courbe de la croissance semblait alors ne jamais devoir s’arrêter. À l’inverse de ce qui se passe aux États-Unis, en Grande-Bretagne, aux Pays-Bas, au Danemark, dans divers pays du tiers-monde, notamment en Asie, c’est de celle du chômage que l’on dit à présent la même chose. Que la tendance soit la même en Allemagne, en Suisse ou en Suède n’est qu’une faible consolation. Nombreux sont, au fond du cœur, les Français à en rendre l’étranger responsable, qu’il s’agisse des immigrants venus leur “voler leur travail”, des cultivateurs ou des industriels coupables d’inonder nos marchés de leurs produits à bas prix, ou des calculs de financiers sans âme, jamais tant heureux que lorsqu’ils voient monter en parallèle les cours de la Bourse et les statistiques des demandeurs d’emploi. D’où le réflexe antimaastrichtien et antimondialisateur du moment, que certains encouragent délibérément et que les autres prennent bien soin de ménager. » [7]

L’événement majeur de la fin de cette décennie est évidemment Seattle, lieu de rendez-vous « des guerriers de l’antimondialisation » [8].

Le grand paradoxe est bien l’acceptation de la mondialisation par le Parti socialiste. À l’occasion de la démission de Michel Campdessus de son poste de directeur général du FMI, en novembre 1999, Christian Sautter, alors ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, défend dans une tribune du Monde leur participation aux grandes instances économiques mondiales :

« Le mot mondialisation est devenu un pont aux ânes du discours politique. Les libéraux en font le slogan d’un marché devenu roi, les sceptiques, l’emblème de la “contrainte extérieure” des années 1970 et 1980, les illusionnistes, le symbole d’un combat de valeurs. La mondialisation n’est rien de tout cela. Elle est une réalité qu’il faut juger et maîtriser. Je pense que nous n’avons pas à regretter ce grand mouvement qui, depuis vingt ans, a transformé la planète. » [9]

Cependant, contre ce discours de l’acceptation, une autre idée de la mondialisation commence à émerger, comme le proclame Edgar Morin :

« Ce qui a surgi à Seattle, c’est la prise de conscience que le contrôle de la mondialisation ne peut s’effectuer qu’au niveau mondial. Elle comporte donc un autre type de mondialisation que celle du marché. Elle incorpore le souverainisme, mais en le dépassant. » [10]

On retrouve ici la problématique posée en 1949 par le mondialisme.

 

6. Les années 2000 : mondialisation et altermondialisation

Au début du 21e siècle, le discours sur la mondialisation s’enracine :

« Dans les années 1990, le mot mondialisation a fait florès et a permis de décrire les réalités nouvelles qui ont émergé, après la chute du mur de Berlin – à savoir la fin de la division de la planète en trois pôles (les économies occidentales, le bloc soviétique et le tiers-monde) qui s’était mise en place après la Deuxième Guerre mondiale, mais aussi l’accélération des échanges, l’internationalisation de l’activité des entreprises, des marchés et des produits ainsi que la globalisation financière – qui se définit comme un processus d’interconnexion des marchés de capitaux aux niveaux national et international, conduisant à un marché unifié de l’argent, à l’échelle planétaire. » [11]

Et la théorie ne trouve guère de démentis : en 2002, Le Monde se fait l’écho du dernier numéro du magazine L’Histoire et reprend l’affirmation de Jean-Michel Gaillard, conseiller référendaire à la Cour des comptes : le mot “mondialisation” est récent, il est apparu au milieu des années 1980 comme traduction de l’américain « globalization » [12].

« La mondialisation » devient à elle seule un sujet à sondage :

« La France est, bien entendu, loin d’être le seul pays pour lequel la mondialisation pose un problème politique et où l’“entrée dans la mondialisation” est contestée par une partie de l’opinion publique. Cependant, la globalisation constitue un défi tout particulier pour ce pays pour au moins trois raisons. D’abord, elle menace directement la tradition “dirigiste” française, en raison de l’abandon qu’elle implique du contrôle de l’État sur l’économie – et donc sur la société. De plus, la mondialisation heurte les Français parce qu’ils sont, historiquement, extrêmement attachés à leur culture et à leur identité, lesquelles semblent aujourd’hui directement menacées par une mondialisation qui se confond souvent avec américanisation. Enfin, la globalisation est particulièrement difficile à accepter, car elle semble rendre encore plus élusive la quête d’un rôle international pour la France. Ainsi, lorsque, dans un sondage européen effectué avant le 11 septembre, on demanda aux personnes interrogées : “Qu’est-ce que le mot ‘mondialisation’ évoque d’abord pour vous ?”, 25 % des Français ont répondu “la domination des États-Unis”, contre seulement 8 % en Italie, 6 % en Grande-Bretagne, et à peine 3 % en Allemagne… » [13]

Mais la nouveauté est la dissimilation :

« Depuis l’émergence publique du mouvement de protestation contre la mondialisation néo-libérale à Seattle, fin novembre 1999, le mot mondialisation (ou globalisation) est utilisé un peu partout, à tort ou à raison… Mais que recouvre-t-il exactement ? Qui sont les acteurs et quel est l’enjeu de ce conflit ?

Ce questionnement est au cœur du film de Patrice Barrat diffusé dans “La Vie en face”. Globalisation : violence ou dialogue ? revient sur les origines et l’histoire de la mondialisation, pour mieux éclairer le rapport de forces qui se joue aujourd’hui entre les “pour” – organismes multilatéraux (Banque mondiale, Fonds monétaire international, OMC), gouvernements des pays riches, multinationales… – et les “contre” – multiples composantes d’un mouvement de protestation qui se mue en force de proposition et préfère dorénavant se qualifier de mouvement “pour une autre mondialisation”. L’idée est d’ “essayer de comprendre ce qui sépare les deux camps, et ce qui pourrait les rapprocher”. » [14]

L’antimondialisation se mue en une « altermondialisation » ‑ le terme apparaît dans Le Monde en juin 2002 [15]. Porto Alegre en devient le lieu symbolique [16]. Le mot entre dans le dictionnaire Larousse en 2004, date à partir de laquelle il cesse d’être employé dans Le Monde. Seuls demeurent les termes de l’engagement : « altermondialisme » et « altermondialiste ».

En 2010, c’est celui de « démondialisation » qui fait irruption, d’abord sous la plume d’Edgar Morin :

« Pour élaborer les voies qui se rejoindront dans la Voie, il nous faut nous dégager d’alternatives bornées, auxquelles nous contraint le monde de connaissance et de pensée hégémoniques. Ainsi il faut à la fois mondialiser et démondialiser, croître et décroître, développer et envelopper.

L’orientation mondialisation/démondialisation signifie que, s’il faut multiplier les processus de communication et de planétarisation culturelles, s’il faut que se constitue une conscience de “Terre-patrie”, il faut aussi promouvoir, de façon démondialisante, l’alimentation de proximité, les artisanats de proximité, les commerces de proximité, le maraîchage périurbain, les communautés locales et régionales.

L’orientation croissance/décroissance signifie qu’il faut faire croître les services, les énergies vertes, les transports publics, l’économie plurielle dont l’économie sociale et solidaire, les aménagements d’humanisation des mégapoles, les agricultures et élevages fermiers et biologiques, mais décroître les intoxications consommationnistes, la nourriture industrialisée, la production d’objets jetables et non réparables, le trafic automobile, le trafic camion (au profit du ferroutage).

L’orientation développement/enveloppement signifie que l’objectif n’est plus fondamentalement le développement des biens matériels, de l’efficacité, de la rentabilité, du calculable, il est aussi le retour de chacun sur ses besoins intérieurs, le grand retour à la vie intérieure et au primat de la compréhension d’autrui, de l’amour et de l’amitié.

Il ne suffit plus de dénoncer. Il nous faut maintenant énoncer. Il ne suffit pas de rappeler l’urgence. Il faut savoir aussi commencer par définir les voies qui conduiraient à la Voie. » [17]

 

Conclusion

Au terme de ce balayage rapide d’un demi-siècle d’archives du Monde qui permet d’élaborer un texte polyphonique sur la mondialisation, quelques grandes idées se dégagent. La première est la confirmation d’un basculement. La mondialisation, considérée initialement comme un horizon utopique d’une humanité s’acheminant vers l’accomplissement de son unité fondamentale, est devenue un processus essentiellement économique qui inquiète par sa capacité à déstabiliser les sociétés et à mettre en péril les économies nationales.

La deuxième idée est que la conscience contemporaine de la mondialisation a oblitéré son passé. Le discours selon lequel la mondialisation financière a constitué le moment fondateur de la mondialisation a été complètement accepté. Le livre de Romain Lecler, Sociologie de la mondialisation, est extrêmement révélateur de cette tendance. Alors même que son auteur entend, dans un premier chapitre, tracer l’« itinéraire d’une notion », le résultat apparaît en grande partie erroné.

Toutefois, mon intention n’est pas tant de dénoncer l’erreur sur l’histoire du mot « mondialisation » que d’interpeler sur un oubli collectif et sur une acceptation d’un discours. Nonobstant, les articles du journal Le Monde ne constituent qu’un reflet fragmentaire de la production intellectuelle française depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, et ce travail de recherche sur l’usage du mot « mondialisation » autant que sur les analyses du processus de mondialisation mériterait d’être poursuivi et étendu. Il appelle une relecture, dans tous les sens du terme.

La mondialisation est en soi un processus qui s’étire dans le temps parce qu’il ne cesse de se renouveler dans ses formes et surtout dans ses moyens techniques, et qui se diffuse dans l’espace en intégrant toujours plus de monde. La mondialisation est une lente transition d’une cospatialité des êtres humains sur Terre à une coprésence globale, qui aboutit à une situation de mondialité par laquelle le Monde est devenu le site de l’humanité (Retaillé, 2012). L’avènement du Monde n’a cessé d’être proclamé au fil du siècle passé, en dernière date par Michel Lussault, dont c’est le titre du dernier ouvrage (Lussault, 2013). Quand commence véritablement « l’âge global » ? Il est difficile d’établir un seuil ; pourtant, on peut penser que la Seconde Guerre mondiale a marqué un « moment global », dans la mondialisation elle-même et dans la prise de conscience de celle-ci. Ce n’est pas un hasard si le terme de « globalization » apparaît aux États-Unis en 1943.

Bibliographie

Archives du Monde, disponibles en ligne.

Amin S., 1992, L’Empire du chaos. La nouvelle mondialisation capitaliste, Paris, L’Harmattan.

Arrault J.-B., 2007, Penser à l’échelle du Monde. Histoire conceptuelle de la mondialisation en géographie (fin du XIXe siècle/entre-deux-guerres), thèse de doctorat, Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Beaud M. et al., 1999, Mondialisation. Les mots et les choses, Paris, Karthala.

Capdepuy V., 2011, « Au prisme des mots. La mondialisation et l’argument philologique », Cybergeo, document n° 576 : http://cybergeo.revues.org/24903

Dagorn R.-É., 1999, « Une brève histoire du mot ‘‘mondialisation’’ », in Beaud M. et al., Mondialisation. Les mots et les choses, Paris, Karthala, pp. 187-204.

DATAR, 1977, Villes internationales et villes mondiales, Paris, La Documentation française.

Haegler R.H., 1972, Histoire et idéologie du mondialisme, Zürich, Europa Verlag.

Lévy J. (dir.), 2008, L’Invention du monde. Une géohistoire de la mondialisation, Paris, Presses de Sciences Po.

Lussault M., 2013, L’Avènement du Monde, Paris, Seuil.

Moreau Defarges P., 1993, La Mondialisation. Vers la fin des frontières ?, Paris, Dunod.

Otlet P., 1916, Les Problèmes internationaux et la Guerre, les conditions et les facteurs de la vie internationale, Genève/Paris, Kundig/Rousseau.

Périllier L., Tur J.-J., 1977, Le Mondialisme, Paris, PUF.

Perroux F., 1954, L’Europe sans rivages, Paris, PUF.

Retaillé D., 2012, Les Lieux de la mondialisation, Paris, Le Cavalier Bleu Éditions.

Teilhard de Chardin P., 1949, La Place de l’homme dans la nature. Le groupe zoologique humain, Paris,.

Teilhard de Chardin P., 1955, Le Phénomène humain, Paris, Seuil.


Notes

[1] Jacques Lesourne, « Une France frileuse », Le Monde, 8 avril 1992.

[2] « La mondialisation financière. Genèses, coût et enjeux », Le Monde, 26 novembre 1996.

[3] André Fontaine, « Faire face à la mondialisation », Le Monde, 21 février 1996.

[4] Jean-Pierre Chevènement, « Il saut se bouger ! », Le Monde, 10 mars 1994.

[5] Zaki Laïdi, « Le malaise de la mondialisation », Le Monde, 31 août 1995.

[6] Erik Izraelewicz, « La première révolte contre la mondialisation », Le Monde, 7 décembre 1995.

[7] André Fontaine, « Sortir de la nostalgie », Le Monde, 31 mai 1997.

[8] Laurence Caramel, « Les citoyens se donnent rendez-vous à Seattle », Le Monde, 23 novembre 1999.

[9] Christian Sautter, « Une mondialisation citoyenne », Le Monde, 11 novembre 1999.

[10] Edgar Morin, « Le XXIe siècle a commencé à Seattle », Le Monde, 7 décembre 1999.

[11] « Modèles », Le Monde, 21 janvier 2003.

[12] Pierre-Antoine Delhommais, « La planète est toujours un village », Le Monde, 15 novembre 2002. Cf. Jean-Michel Gaillard, « Comment la planète est devenue un village », L’Histoire, n° 270, novembre 2002, p. 33.

[13] Philip Gordon et Sophie Meunier, « L’ouverture au monde », propos recueillis par Alain Beuve-Méry et Serge Marti, Le Monde, 16 avril 2002.

[14] Thérèse Marie Deffontaines, « Les deux mondialisations », Le Monde, 26 janvier 2002.

[15] Michel Noblecourt et Nicolas Weill, « En attendant la refondation », Le Monde, 8 juin 2002.

[16] Serguei, « Porto Alegre, sommet contre la guerre », Le Monde, 24 janvier 2003.

[17] Edgar Morin, « Éloge de la métamorphose », Le Monde, 10 janvier 2010.

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